POLËN
Polën est une histoire artistico-apicole.
Une enfance heureuse en pleine campagne au milieu des odeurs de cire et de miel, des ruches d’un père apiculteur dont les abeilles bourdonnent, s’affairent, et la terre brune que l’on malaxe, que l’on étire, qui prend forme sur le tour d’une mère céramiste affectionnant particulièrement la ligne pure.
Des univers qui se croisent, s’interpellent, parfois bruts, souvent poétiques.
Cinq années de formation dans les arts plastiques puis des tours et détours dans ce domaine, et dans d’autres apparentés.
Un goût prononcé pour l’architecture et la décoration, la forme et la lumière. L’envie d’y plonger.
Polën.
Le choix de matériaux naturels, une évidence, parfois ponctués d’éléments synthétiques pour la confrontation entre les textures, pour leur tension dans l’espace, pour la couleur.
Des luminaires et objets de décoration dont le design puise ses racines dans l’univers apicole familial, mais pas seulement. Des formes nourries par le regard posé sur la nature, l’émerveillement pour le nid, le cocon. La fascination pour la cabane, le refuge.
L’habitat comme fil conducteur.
Anne Charozé
Une enfance heureuse en pleine campagne au milieu des odeurs de cire et de miel, des ruches d’un père apiculteur dont les abeilles bourdonnent, s’affairent, et la terre brune que l’on malaxe, que l’on étire, qui prend forme sur le tour d’une mère céramiste affectionnant particulièrement la ligne pure.
Des univers qui se croisent, s’interpellent, parfois bruts, souvent poétiques.
Cinq années de formation dans les arts plastiques puis des tours et détours dans ce domaine, et dans d’autres apparentés.
Un goût prononcé pour l’architecture et la décoration, la forme et la lumière. L’envie d’y plonger.
Polën.
Le choix de matériaux naturels, une évidence, parfois ponctués d’éléments synthétiques pour la confrontation entre les textures, pour leur tension dans l’espace, pour la couleur.
Des luminaires et objets de décoration dont le design puise ses racines dans l’univers apicole familial, mais pas seulement. Des formes nourries par le regard posé sur la nature, l’émerveillement pour le nid, le cocon. La fascination pour la cabane, le refuge.
L’habitat comme fil conducteur.
Anne Charozé
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